Les avis de Martin

Avis sur MARTIN OWEN

Martin Owen... nous a éblouis dans le récent Concerto pour cor, une célébration jubilatoire de cet « instrument particulier » (selon l'expression de Carter), avec la gymnastique solo teintée comme par magie d'un arc-en-ciel de merveilles, des cris tutti et une salsa de percussions aux murmures du vibraphone et des cuivres en sourdine. THE TIMES Geoff Brown critique le Concerto pour cor d'Elliott Carter, Orchestre symphonique de la BBC, chef d'orchestre Oliver Knussen au Barbican Centre. Célébration du 100e anniversaire de Carter. Le Concerto pour cor étonnamment vivant de Carter a été scrupuleusement joué par Martin Owen. MUSICOMH.com Keith McDonnell critique le Concerto pour cor d'Elliott Carter, Orchestre symphonique de la BBC, chef d'orchestre Oliver Knussen au Barbican Centre. Célébration du 100e anniversaire de Carter.

C'était une bonne idée de confier à Oliver Knussen la direction de son Concerto pour cor... un petit bijou, déjà entendu deux fois aux Proms et interprété ici avec brio par Martin Owen. THE DAILY TELEGRAPH Geoffrey Norris critique le Concerto pour cor de Knussen : BBC Prom 30 2009, diffusé en direct sur BBCTV Le Concerto pour cor de 1994, avec Martin Owen en soliste merveilleusement souple. THE GUARDIAN Andrew Clements critique le Concerto pour cor de Knussen : BBC Prom 30 2009, diffusé en direct sur BBCTV

Knussen a ensuite interprété deux de ses propres œuvres : The Way to Castle Yonder et le Concerto pour cor. Ce concerto est empreint de magie, le soliste nous guidant à travers un monde riche de mystère, de murmures et d'une beauté transcendante. Les deux interprétations furent remarquables, notamment celle avec Martin Owen comme soliste.

p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 20.0px Montserrat; color: #2b4a61} The Guardian Tim Ashley critique le Concerto pour cor de Knussen avec The Hallé au Bridgewater Hall, Manchester


Martin Owen a donné une performance fabuleuse d’engagement, de musicalité et de virtuosité.
SOURCE CLASSIQUE Colin Anderson critique le Concerto pour cor de Thea Musgrave avec le BBC Symphony Orchestra au Barbican, Londres, février 2014

Critiques de Martin Owen en soliste aux côtés de Toby Spence avec le Scottish Ensemble : Sérénade pour ténor, cor et cordes de Britten (critique du CD) : Le jeu d'Owen est un luxe pour l'oreille. Paul Driver, THE SUNDAY TIMES Le jeu de cor de Martin Owen est riche et expressif dans la Sérénade, et il gère les octaves envoûtantes et plongeantes de « Dirge » avec une aisance apparente. BBC MUSIC MAGAZINE Le virtuose du cor Martin Owen s'équilibre avec le reste du groupe dans les numéros d'ensemble, mais il tire le meilleur parti du « Prologue », jouant avec une gamme dynamique incroyable et se poussant aussi près du bord qu'Anthony Halstead l'a fait dans l'enregistrement Nimbus... Passant à l'« Élégie », Owen rivalise avec Halstead pour la puissance et le caractère acéré... Le rythme lent du mouvement l'intensifie immensément, et le contrôle d'Owen sur ses dernières notes est magistral. Le « Dirge » qui suit... couronné à son apogée par une contribution démoniaque du cor d'Owen. Difficile d'imaginer un argument plus convaincant en faveur d'une interprétation intime de la Sérénade. Mark Jordan, HIGH FIDELITY.COM

Martin Owen / Orchestre Philharmonique de Brighton, Brighton Dome Concert Hall, novembre 2011. Concerto pour cor n° 4 de Mozart. Le soliste virtuose Martin Owen a offert une interprétation époustouflante de ce qui est devenu le morceau préféré de Mozart pour cor (Flanders & Swann y est peut-être pour quelque chose). Sa technique impeccable a permis à Owen de faire preuve d'humour et de taquiner le public en attendant un instant les accords diminués avant de reprendre la merveilleuse cadence : des sourcils levés et un sourire radieux nous ont invités à partager la plaisanterie. Louise Schweitzer, THE ARGUS. Après avoir applaudi le mauvais corniste, Martin Owen a prolongé le plaisir en se baissant sans vergogne pour jouer ses pianissimos devant le parterre, nous taquinant avec des silences dans la cadence et tirant le meilleur parti du dernier mouvement de « Flanders & Swann ». Andrew Connal, LATEST 7 MAGAZINE

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